Les curiosités de le futur et de la voyance
Les curiosités de le futur et de la voyance
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L’aube s’élevait à brimade sur le village, teintant le ciel de nuances cuivrées. Une brume épaisse s’attardait encore entre les chaumières, filtrant la lumière de la journée de la même façon qu'un rideau de cendres en suspens. Alisandre, éveillée depuis longtemps, se tenait à l’orée de la forêt, fouillant l’horizon comme par exemple si elle pouvait saisir au-delà de l'avenir lui-même. La voyance lui avait montré une éternité sombre, un incendie rampant, s’étendant sans pitié sur les terres du village. Mais elle ignorait encore d’où viendrait la première étincelle. Les prédictions étaient très insaisissables, fragiles à savoir la fumée qui s’élevait de son âtre. La voyance n’offrait jamais une image complète, juste des fragments, des éclats d'authenticité que seuls les initiés pouvaient affecter. Le vent portait avec lui une odeur étrange, un parfum de rêve sec et d’herbes brûlées. Ce n’était pas encore le artifices de la pics, mais une futurologie silencieuse de la destinee qui se préparait. Les villageois, eux, poursuivaient leur coutume sans se douter du contretype instant. Les femme se rendaient au puits, leurs seaux de bois heurtant le sol dans un rythme fréquent. Les jeune homme s’affairaient dans les champs, arrachant les dernières pousses évident l’arrivée de l’hiver. Mais dans leurs gestes résidait une épouvante latente, une phobie diffuse qui se traduisait par des regards furtifs échangés entre eux. Depuis vivement, ils percevaient inconsciemment les comètes du communauté qui les entourait, correctement qu’ils ne sachent pas les incorporer par exemple Alisandre le faisait avec la voyance. Dans la grand-place, le seigneur du village tenait conseil avec ses monsieur. Il parlait de récoltes insuffisantes, de dettes impayées, du manque de dessein pour vivre l’hiver. L’inquiétude planait, mais personne ne semblait noter l’ombre plus conséquente qui s’étendait sur eux. La voyance d’Alisandre avait aperçu l'élimination, et cependant, ils continuaient à échanger comme si le temps leur appartenait encore. Un corbeau se posa sur le toit de l’église, ses ailes nuisibles contrastant avec le ciel pâle. Son exhortation résonna, long et rauque, une incitation obscur que soupçon osèrent englober. Dans les époques immémoriaux, on disait que les bestioles étaient les signaux du futur, porteurs de nouvelles venues de l’au-delà. Alisandre savait que ce n’était pas une innoncence, mais une flagrance inscrite dans les fils surnaturels du univers. La voyance ne se limitait pas aux tentations ou aux songes, elle vivait dans les modérées points de la nature, dans le arnaque d’un oiseau, dans la guidage du vent, dans le silence qui précédait la tempête. Elle longea les ruelles étroites, amenée par une sentiment diffuse, un intuitions indéchiffrable. La voyance la guidait sans qu’elle ne comprenne encore pourquoi. Chaque pas la rapprochait d’une évidence occulte, d’un devoir tapi marqué par le support de la vie quotidienne. Devant une domicile délabrée, une féminitude âgée empilait du cible en avance des journées froids. Son regard croisa brièvement celui d’Alisandre premier plan de se adjurer facilement. Ici, individu ne l’appelait, individu ne la remerciait, mais tous savaient qu’elle voyait bien au dessus de l’instant utilisé. Pourtant, la phobie de la voyance était plus importante que la soif. Ils ne voulaient pas apprendre ce que le destin leur réservait. Mais bientôt, ils n’auraient plus la sélection. Un bruissement dans l’air lui fit amasser les yeux poétique le ciel. Une indice illustration, brève et fulgurante, l’assaillit sans alerter. Un brillance incarnat, une étincelle dans l’obscurité, des espoirs apparaissant d’une majeur humaine. Ce n’était pas un artifices naturel, mais un acte pensé, une histoire énigmatique dans l’ombre. L’incendie possible ne serait pas une malédiction des cieux. Il naîtrait d’une main mortelle. La voyance venait de lui révéler un autre secret : le risque ne viendrait pas d’une souple fatalité, mais d’un cœur empli de haine. Et cette fois, elle devait déterminer l’origine malheureuses évident que le brasier ne consume tout sur son passage.
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